
Mieux vivre la transition numérique ensemble
Cette jeune TPE basée à la Rochelle accompagne les organisations dans leur transformation numérique, en se centrant sur…
Cette start-up basée à Nieul-sur-mer développe une application mobile visant à redynamiser le dialogue social au sein des organisations, en captant les retours du terrain et en facilitant les interactions entre collaborateurs, représentants et direction. Les utilisateurs ont accès à différentes fonctionnalités : documentation interactive, enquêtes diffusées par les représentants et / ou la direction, comptes-rendus de réunions, etc.
Organyze accompagne ses clients dans la mise en place du télétravail. Il s’appuie sur la réalisation d’un diagnostic et l’identification des chantiers prioritaires. Le client est guidé dans la sélection d’outils d’aide à la mise en œuvre opérationnelle – modules de gestion des demandes, de réservation d’espaces de travail, d’évaluation des pratiques… – et dans la mise en place de modules de formation ciblés – utilisation des outils numériques, management à distance, etc.
Le projet repose sur le développement de l’employabilité des personnes de plus de 50 ans, retraités, demandeurs d’emploi ou inactifs auprès des entreprises bretilliennes, dans les secteurs du service à la personne, du commerce, de la logistique, du transport et de l’hôtellerie-restauration. Il propose une plateforme numérique de mise en lien de l’offre et de la demande d’emploi, des accompagnements personnalisés et des ateliers collectifs.
Ce tiers-lieu a vocation à redynamiser le centre-ville de Redon et sa périphérie. il comprendra un espace de co-working, des services mutualisés et des événements encourageant l’échange, favorisant l’émulation, la promotion et le développement des compétences et de l’économie locales. Il accueillera une cantine et un bar associatif associant paysans et consommateurs.
Ce tiers-lieu proposera des espaces de coworking, la mise à disposition de salles privatisables, un terrain de maraîchage et un lab low-tech numérique permettant de fabriquer des outils 3D, de transformer la récolte et de la distribuer sur place par le biais d’une épicerie solidaire. Un accompagnement sera également proposé aux entrepreneurs locaux en matière de marketing, de commerce, de finances et d’aide juridique. Toutes les parties prenantes seront associées à la gestion des activités proposées, au profit d’un développement économique résilient, reconnecté à l’environnement social et naturel.
Ce porteur de projet se lance dans la création d’un tiers-lieu sur la communauté de communes du Coglais. Cet espace abritera une activité traditionnelle de coworking ainsi que des animations – conférences, initiations à l’informatique, événements privatifs… – favorisant la mise en place d’une dynamique collaborative et le lien social. Il offrira sur place une offre de repas, grâce à la présence d’un traiteur hébergé sur le tiers-lieu.
Ce projet propose la création d’un espace de travail partagé au sein du Pays des Vallons de Vilaine. Il offrira un espace de coworking et un dispositif d’accompagnement et de mutualisation des ressources, outils et compétences. Il cherchera à faciliter la visibilité des entreprises locales et l’innovation. Les futurs usagers seront associés dès le lancement du projet au choix du lieu, du mode de fonctionnement et du mode de gouvernance.
Anthropotech s’adresse aux acteurs de l’ESS. Il souhaite favoriser un dialogue entre l’ESS et le monde « tech » orienté vers les questions sociales et de solidarité, puis favoriser la conception et / ou le déploiement d’outils numériques communs, et devenir ainsi un réseau de production et de financement de communs numériques sociaux et solidaires. Il articule un fonds de soutien, des hackathons, une résidence et un infuseur numériques. Pour gérer ces communs, il souhaiterait encourager la création de start-up sociales qui tout en ayant leur économie propre, respecteraient la déontologie de l’ESS et partageraient la gouvernance de leurs outils avec la communauté.
plateforme mettant en lien des idées, des personnes et des moyens de production afin de faciliter la gestation de projets, sans que des contraintes d’ordres géographique ou économique n’interfèrent dans le processus de création. Chacun peut déposer une idée, la développer ou en développer une autre et l’amener vers une une finalité qui lui sera propre. Basée sur l’utilisation d’une monnaie cryptographique et d’une caisse commune, elle financerait des projets d’envergure, des logiciels libres, sur le modèle de l’« entredonneuriat » propre à Michel Bauwens, avec un modèle partenarial ou collaboratif basé notamment sur l’utilisation d’une licence à réciprocité.